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Yvan Le Bozec
Né au Mans en 1958.
Il vit et travaille à Cachan à Quimper.
« Dès ses études à l’école des Beaux-Arts de Quimper, Yvan Le Bozec commence à écrire dans la presse locale tout en dirigeant une petite publication, l’hurluberlu. Lassitude des U et habitude d’écrire lui font adopter la lettre Y – à la fois initiale de son prénom et dessin – comme motif central et récurrent de son travail. Dynamique, rigoureuse ou saugrenue, détournée ou décalée, la lettre fait appel à de multiples représentations farfelues (dessin, photographie, papier peint) et s’accompagne d’un discours empreint d’humour. Sous couvert d’une pratique obsessionnelle de l’autoportrait, c’est l’éternel questionnement de la peinture qui se lit dans l’œuvre de cet artiste. »
Extrait du Journal de l’exposition.
« Les balbutiements picturaux d’Yvan Le Bozec s’aventurent sur la scène de l’art dès le milieu des années 80. Il s’agissait de construire sur le plus creux du creux de la vague, entre les vestiges du conceptualisme pur et dur et un retour à la peinture par des moyens auxquels, manifestement, notre homme ne croyait pas. Il fallut donc à nouveau tout apprendre : l’alphabet (accessoirement celui des sourds et des sténographes), le trait (ou le dessin, mais tout ça c’est un peu la même chose : apprendre à écrire, chez Rabelais, se dit “traire les lettres”). Le b.a.-ba… et aussi apprendre à écrire son nom, au moins le début : Y. Le tout en noir et blanc. La couleur, comme il dit, il l’apprécie chez les autres. Tout, chez lui, provient du déjà-là, non pour asséner la discutable évidence des choses, mais pour avancer patiemment dans la forêt des questions que pose l’exercice de la peinture : le sujet (et le motif), le portrait (auto) et même le paysage, mais plus encore, le poids du sujet sur la surface (ici, son incroyable légèreté) et enfin le son, la sonorité du tableau (peintures à dire). (…) »
Jean-Marc Huitorel, in Catalogue Frac Bourgogne