Mémoires de Pas 》Cie Koracorps

Danse

Ce projet reçoit le soutien de l’Agence nationale à la cohésion des territoires (ANCT) et de la DRAC Bourgogne Franche-Comté.

Mémoires de Pas

PARTAGER UNE DANSE, UNE MUSIQUE POUR NE PAS L’OUBLIER…

PROJET PARTICIPATIF POUR 20 FEMMES avec Soukaïna Alami de la compagnie Koracorps I chorégraphe

Vous voulez approcher la danse et vous engager dans une aventure dansante, ludique et humaine ? Aucune compétence particulière n’est requise, seules votre volonté et disponibilité sont nécessaires ! Gratuit, ce projet est ouvert à toutes les femmes du territoire âgées de 16 à 75 ans.

Mémoires de Pas a pour ambition de rassembler des publics éloignés des pratiques artistiques autour d’un projet participatif : une rencontre entre les habitantes de plusieurs quartiers de la ville de Saint-Claude et d’autres communes environnantes. Permettre ainsi le surgissement de danses populaires et traditionnelles afin de préserver la transmission et le dialogue de celles-ci. Chaque participante sera libre de proposer une danse, un chant, une musique issue de sa culture, de ses traditions, dans le but de les partager et de les vivre collectivement. Nous irons chercher dans les danses traditionnelles de chacune, les mémoires de gestes, de sensations internes et de liberté d’expression. Et enfin, nous essayerons de collecter et de retranscrire par le geste ou la parole, le propos de l’émancipation des femmes.

Le but sera donc de créer une courte création chorégraphique contemporaine grâce aux apports de chacune afin d’aborder la représentation de son corps et celui de l’autre, ressentir et exprimer des émotions par le mouvement, ouvrir un espace imaginaire et créatif…

+ Performance en mouvement

Soukaïna Alami / artiste chorégraphique
Yasmina Benjelloun / danseuse et comédienne

Soukaïna Alami et Yasmina Benjelloun aimeraient entrer en laboratoire de recherches pour tester un moment artistique brut, qui inviterait à plonger dans le temps de la fabrication instantanée de jeux musicaux, dansés et théâtraux… Empruntant le principe de l’écriture automatique du mouvement surréaliste, l’idée est de partir du rien, l’essai étant le moteur du Mouvement. Les intentions du geste ne seront pas choisies, mais plutôt advenues pour faire survenir la rencontre des univers de l’une et l’autre. Il s’agirait d’une tentative d’abandon du « vouloir faire », de créer les conditions qui permettent l’échappée du connu, du contrôle, et découvrir les possibles. L’improvisation étant leur médium créatif privilégié, elle sera aussi le vecteur d’écritures chorégraphiques qui aboutiront à la production d’une pièce prochaine.